Accéder au contenu principal

Retrouvez tous nos articles en 1 clic

Social

Le droit social : droit de l'entreprise par essence

Chez LegiStrat, nous abordons l'entreprise par son capital humain avant tout. Car au-delà des ressources financières et matérielles nécessaires à son fonctionnement, une entreprise ne peut réaliser ses objectifs qu'à la condition sine qua non d'une collaboration étroite avec ses ressources humaines.

Les relations entre employeurs et salariés sont régies par le droit du travail, l'un des deux volets du droit social. Celui-ci régit aussi bien les relations individuelles (contrat de travail) que les relations collectives (syndicats, institutions représentatives du personnel ou "IRP"). On comprend alors que le droit social est LE droit des entreprises par excellence.

A mi-chemin entre droit privé et droit public, le droit social intègre également les dispositions du droit de la sécurité sociale. Il s'agit d'un droit spécial dont l'objet est de protéger les personnes physiques contre la survenance de risques sociaux (maladie, invalidité etc). Pour l'entreprise, ce droit présente un intérêt particulier puisqu'il régit notamment le contentieux avec les organismes de sécurité sociale.

Dans les entreprises, le droit social est appréhendé dans le cadre du management du capital humain  (ou "gestion des ressources humaines"). Il s'agit donc d'un droit venant à l'appui des politiques de ressources humaines, présentant un intérêt stratégique.

Comme à notre habitude chez LegiStrat, nous avons à coeur d'optimiser la valeur ajoutée apportée à nos lecteurs. C'est pourquoi nous avons pris soin d'illustrer nos articles par des décisions de justice récentes, que nous avons analysées pour vous.


ARTICLES RELATIFS AU DROIT SOCIAL

La clause de non concurrence : salariés, collaborateurs ou associés... tous concernés !

Les dettes de cotisations sociales envers l'URSSAF sont de nature professionnelle

Salaires versés aux apprentis : l'articulation entre prélèvement à la source et exonération d'IR

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Analyser l'environnement externe d'une entreprise avec la méthode PESTEL

Analyser l'environnement externe de l'entreprise La méthode PESTEL : une analyse au niveau "macro" Lorsque l'on souhaite se lancer dans une nouvelle activité ou internationaliser une activité existante, il est essentiel de procéder à l'analyse des principaux facteurs externes (dits "macro-environnementaux") susceptibles d'avoir un impact sur cette activité.  C'est le B.A-BA en matière de stratégie d'entreprise : se positionner sur un secteur d'activité ou sur un domaine d'activité stratégique (DAS) que l'on ne connaît pas nécessite une étude de l'environnement externe dans lequel celui-ci s'inscrit. Il en va de même lorsque l'objectif est d'étendre une activité existante sur le territoire d'un nouvel Etat, l'environnement externe d'une entreprise variant d'un pays à l'autre. La méthode PESTEL est un outil stratégique de base couramment utilisé pour procéder à l'analyse

Diversifier l'offre de l'avocat par l'exercice d'une activité commerciale

Diversifier l'offre de l'avocat conseil est le meilleur moyen de le repositionner sur le marché du droit Diversifier l'offre de l'avocat conseil par la commercialisation de biens ou de services Dans le monde du droit, certaines croyances sont profondément ancrées dans les esprits. L'une d'entre elles concerne la profession d'avocat, encore et toujours : il serait interdit à ce professionnel d'exercer une quelconque activité commerciale, même à titre accessoire. Eh bien ! Nous avons le regret - ou plutôt, le plaisir - de vous informer que cette interdiction n'est plus d'actualité depuis le décret n° 2016-882 du 29 juin 2016 dit "décret Macron" . Pour être tout à fait précis, l'exercice d'une activité commerciale à titre accessoire est désormais ouverte aux avocats sous certaines conditions. Avant de nous lancer dans (i) l'exposé desdites conditions, ainsi que dans (ii) l'analyse stratégique que l'

Juristes d'affaires : parlez le langage de vos clients !

Faire sien le langage de ses clients, c'est se positionner comme un véritable business partner Parler le langage de ses clients, un premier pas vers une relation de confiance ! En tant que juriste d'affaires, vous avez votre jargon : GAP, TUP, ABS, IPO,  closing  ou encore fusac sont des termes courants pour vous, mais qui peuvent s'avérer relativement occultes pour vos clients... voire même pour des juristes non initiés au monde des affaires.  Sachez cependant que vos clients aussi ont leur langage, et il vous appartient de le maîtriser ! En effet, parler la même langue que ses clients, c'est établir une relation de confiance avec eux.  En leur montrant que vous connaissez leur monde, vous vous positionnez comme un véritable  business partner  et non plus uniquement comme un technicien du droit.  C'est un peu comme si vous aviez affaire à un client étranger : si vous savez parler anglais, c'est bien, mais si vous parlez sa langue natale, d&#